Le corps s’engage dans la matière sculpturale, l’informant de son empreinte. Ici, se sont les bras qui figurent l’empreinte, celle de mon corps qui prend appui. La sculpture est à la taille de ma famille. J’embrasse la sculpture. La sculpture possède par cette action son genre; un genre universel. Masculin et féminin coexistent. C’est une sculpture érigée, totémique, fragile comme une porcelaine.