Les corps sont mélangés, seules se distinguent les extrêmités. Doigts et pieds indiquent les corps mais n’en révèlent pas l’identité. L’identité absente, non visible, renvoie ici au genre dans sa dimension différentielle. Cette dernière repose à la fois sur des aspects culturels et physiques. Pourtant, peu à peu, au fur et à mesure que les connaissances humaines progressent, la différenciation s’efface. De là surgit un corps éclaté, morcelé, qui peine à trouver forme, une enveloppe identitaire.